Le Secrétaire général de la Confédération Nationale des Travailleurs de Guinée (CNTG), Amadou Diallo, a prévenu lundi, 27 septembre 2021 que pour amener les travailleurs à accepter cette fois-ci l’Institut Nationale d’Assurance Maladie Obligatoire (INAMO), toutes les centrales syndicales seront associées, pour une large sensibilisation et une large diffusion sur l’importance de l’institut.
C’était à l’occasion de la rédaction du mémorandum des onze (11) centrales syndicales notamment, la CNTG, l’USTG, la COSATREG, la CGTG, la CGSL, l’UDTG, l’UGTG, l’UGFOG, la CONASIG, l’UNTG et le SIFOG, à la bourse du travail sise dans la commune de Kaloum à Conakry.
M. Amadou Diallo a déclaré que pour amener les travailleurs à accepter cette fois-ci l’INAMO, toutes les centrales syndicales seront associées pour qu’une large sensibilisation et une large diffusion soient faites sur l’importance de l’institut, dans l’intérêt supérieur de tous les travailleurs de Guinée. Parce qu’explique-t-il, la couverture sanitaire est universelle.
Il a fait comprendre que chacune des deux (02) structures notamment, l’INAMO et la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS), a un conseil d’administration composé de dix (10) représentants du gouvernement et de dix (10) autres venus des centrales syndicales les plus représentatives en Guinée dont quatre (04) représentants de l’Union Syndicale des Travailleurs de Guinée (USTG) et six (06) de la Confédération Nationale des Travailleurs de Guinée (CNTG).
Il a rappelé, « contre tenu de la non application des textes réglementaires en vigueur, nous étions obligés de venir à la décision finale des nouvelles autorités du pays, celle de sursoir aux cotisations des travailleurs des services publics.
L’INAMO et le la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS), sont des nouvelles structures qui ne sont pas encore opérationnalisées sur l’étendue du territoire national. C’est pourquoi nous sommes sortis pour faire la vulgarisation, la sensibilisation et jusqu’à un premier temps, on est venu à la cotisation au compte de l’INAMO ».
Jacob Gui