MOIS DE LA FEMME : le groupe Bolloré Transport et Logistics fait un don à l’hôpital Bernard Kouchner de Coronthie
Le groupe Bolloré Transport et Logistics continue de faire des dons aux femmes dans des centres hospitaliers de Conakry, dans le cadre de la célébration du mois de la femme. Après l’Institut nutritionnel de l’hôpital Donka, c’est au tour des femmes hospitalisées et leurs enfants de l’hôpital Bernard Kouchner de Coronthie de recevoir de don, composé essentiellement des serviettes, des cartons de savons, des kits de lavage de bébé, de l’eau de javel, des Pampers ou couches de bébé.
« Je suis très heureuse, car je suis surprise puisque je ne m’attendais pas à avoir ce cadeau qui me va droit au cœur. Pour cela, je remercie infiniment le groupe Bolloré Transport et Logistics. En plus, je l’encourage à continuer de faire ce genre d’initiatives », a déclaré Aminata Touré qui venait d’accoucher d’un nouveau bébé.
De son côté, Dr Alseny Yattara, le directeur général de l’hôpital Bernard Kouchner, s’est réjoui d’avoir reçu ce don de la part du groupe Bolloré. « Vous n’êtes pas sans savoir que tout ce que nous faisons ici, à savoir les consultations, l’accouchement , des césarienne, tout est gratuit. Vous avez des gens qui sont un peu démunis. Quand on apprend que quelque part on fait tout gratuitement, il y a l’affluence. Nous pouvons faire 18 à 30 accouchements ici en 24 heures. Si nous recevons une organisation qui nous vient en aide pour l’amélioration des prestations de la prise en charge des femmes et des enfants, nous ne pouvons que les remercier », a-t-il souligné.
Selon Jean-Christophe Tranchepain, le directeur pays du groupe Bolloré en Guinée, son entreprise voulait donner une signification particulière et à la journée de la femme et à l’aide aux maternités. « Il fallait qu’on fasse un deuxième geste au centre de santé Bernard Kouchner de Coronthie dans la commune de kaloum. On est très heureux de venir aujourd’hui justement pour remettre encore une fois des kits de maternités aux femmes qui viennent d’accoucher pour leur alléger le fardeau financier. J’ai appris que le centre ne facturait pas les prestations d’accouchement et des traitements. Ce qui est très bien. J’encourage à continuer, à faire ces genres de prestations pour que le coût sanitaire médical aux femmes soit le moins élevé possible et le plus supporté par les donateurs, les entreprises ou l’Etat. Nous sommes très heureux d’avoir fait cette action qui est la suite de ce qu’on a fait lundi dans le cadre de la Journée internationale des droits de la femme », a expliqué le chef d’entreprise.
